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À propos

Une photo de ma personne...

Née dans l’est de la Belgique, c’est un de mes professeurs de français qui a donné à l’adolescente que j’étais la passion pour la lecture. Mes premières découvertes ont été les romans de Sir Arthur Conan Doyle et d’Antoine de Saint-Exupéry. Si ces derniers m’ont accompagnée un long moment, les « classiques » depuis Homère jusqu’à Molière ont également comblé ma soif de lecture.

Cependant, la découverte majeure a été et demeure les romans historiques. Passionnée d’histoire antique ou plus récente, ils permettent une approche ludique d’événements parfois terribles ou terrifiants.

La rédaction d’essais et autres petits livres analytiques a, très vite, occupé une partie de mon temps. Mais il a fallu attendre une plus grande disponibilité afin d’entamer « mon grand projet » : écrire un roman.

Curieusement, bien que passionnée par l’historicité des faits, le genre littéraire de mes œuvres s'inscrit dans la science-fiction. A l'instar d'Isaac Asimov, qui est un maître en la matière, ils traitent d'anticipation voire de dystopie.

Je dois cet autre intérêt à mon époux qui m’a initiée à ces histoires du futur.

Mes personnages évoluent dans un monde qui pourrait être proche du nôtre, dans une histoire similaire à ce que nous connaissons. Dans cette conception, il n’y a donc ni vie extraterrestre, ni sujets venus d’ailleurs. Quant aux technologies décrites, si elles n’existent pas encore pour vous et moi, leurs prototypes sont déjà en fonction mais dans un cadre restreint.

Au travers d’études universitaires, j’ai été formée à la sémantique hébraïque. Il m’a semblé opportun d’appliquer les mêmes schémas d’analyse sur la langue française afin d’en explorer toute la quintessence.

 

Dès lors, mes ouvrages tentent de se démarquer autant par l’imaginaire qu’ils renferment que par le respect de la langue française. Pour celle-ci, j’ai eu à cœur de bannir tout anglicisme et de mettre à l’honneur la richesse de notre langue en évitant, de surcroît, l’utilisation (parfois trop intempestive) des auxiliaires « être » et « avoir ». De ce fait, le vocabulaire général se trouve enrichi par le choix du mot correspondant exactement à l’idée énoncée.

Écrire est une passion qui me comble de bonheur. La « cerise sur le gâteau » est de savoir qu’il m’est possible de partager cette joie avec mes lecteurs et découvrir ainsi ces autres univers créés par eux afin d’y faire évoluer mes personnages.

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